Le Groupe AHNAC intervient chez Pôle Emploi Carvin et Liévin sur le métier d’aide-soignant.

A l’occasion de la semaine des métiers de la santé du 15 au 19 février, Pôle Emploi a organisé une rencontre avec l’aide du Groupe AHNAC. Des formateurs de l’Institut de Formation d’Aide-Soignant (L’IFAS) de Oignies se sont rendus aux agences Pôle Emploi de Carvin et de Liévin afin d’apporter une information sur la formation, le métier et les perspectives du métier d’aide-soignant.

Cette intervention a donné l’opportunité aux demandeurs d’emploi intéressés d’en savoir plus sur les professions du domaine sanitaire et médico-social.

L’IFAS du groupe AHNAC tend à être un lieu d’échanges, de communication, de débats, de confrontations d’idées avec les élèves, les formateur, les professionnels de santé mais aussi les cadres des structures hospitalières, les intervenants et les usagers du système de santé.

Si vous souhaitez vous former aux métiers de l’aide à la personne et préparer le Diplôme d’Etat d’aide-soignant (DEAS).

Plus d’informations sur https://centre-formations.ahnac.com/linstitut-de-formation-aide-soignant-ifas/

Prise en charge hospitalière de la douleur.

A l’occasion de la journée annuelle d’information sur la prise en charge hospitalière de la douleur, nous évoquons le sujet du droit au confort/de la lutte contre la douleur.

Les droits du patient à se sentir confortable, sans douleur excessive dans un contexte de soin, sont bien réels (art. L1110-5-3 du code de la santé publique) 

Tout comme des recommandations émergentes : la démarche centrée sur le patient, proposée par la haute autorité de santé (HAS) depuis 2015, et l’arrivée du concept de personnalisation des soins ces dernières années.

Mais un décret peut-il régler le problème de la douleur liée à la maladie, aux soins (intervention chirurgicale, examen, pansement, etc…), ou la cicatrisation ?

Le Comité de Lutte contre la Douleur (acronyme CLUD) est la base « organisationnelle » de l’accès à ce droit.

Le CLUD propose les informations suivantes liées à la lutte contre la douleur : 

  • Ressource d’aide à la prescription 
  • Mise en œuvre de stratégies de lutte contre la douleur
  • Veille scientifique et technologique
  • Ouverture à de nouvelles approches (comportementales, psychologiques, outils virtuels, alimentation) permises par la recherche, à laquelle nous participons 
  • Éducation, soutien, formation du personnel soignant et non soignant 
  • Acquisition de nouvelles compétences
  • Mise en place de coopérations et travail en réseau

 

Mais un patient … n’est pas l’autre ! 

Et le déroulé de la douleur durant une hospitalisation n’est pas toujours comme on l’attend ou le souhaite ; même si nous connaissons de mieux en mieux les effets des soins prodigués dans notre établissement. 

Par ailleurs, de nouveaux praticiens mettent en oeuvre de nouvelles interventions/techniques que nous devons apprendre à encadrer de la manière la plus efficace.  

La meilleure stratégie est donc faite d’une complémentarité entre l’expertise des professionnels et l’expérience du patient.

C’est la raison pour laquelle VOUS DEVEZ ETRE ACTEUR/TRICE de vos soins et de la lutte contre VOTRE douleur :

  • En posant toute question nécessaire avant, pendant, après le soin
  • En signalant tout excès la rendant non supportable
  • En respectant les consignes qui vous sont données
  • En référant tout problème non résolu auprès du cadre de l’unité ou vous êtes hospitalisé(e)

Contre la douleur ? Ensemble, nous sommes plus forts !

Aujourd’hui c’est la journée mondiale des malades.

A cette occasion, nous nous intéressons au rôle des représentants des usagers (RU) dans les établissements de santé. Nous avons recueilli le témoignage d’Olivier Dauptain, représentant des usagers.

Un représentant des usagers est le porte-parole des patients et des familles au sein d’un établissement de santé. Il est la voix des usagers, il est garant de la défense de leurs droits et de leurs intérêts. 

Le RU se place en observateur et est force de proposition afin d’améliorer la qualité de prise en charge au sein de l’établissement de santé. Il est vigilant notamment à l’accueil, la prise en charge du patient mais aussi au recueil d’informations. Son rôle est primordial dans le traitement des plaintes et réclamations, qui peuvent parfois être liées à un problème de communication. Il peut également accompagner un usager lors d’une médiation si celui-ci le demande. Un RU est aussi attentif aux remontées positives concernant l’établissement, il contribue à mettre en valeur ce qui se passe bien dans l’hôpital. 

Dans toutes ses démarches le patient peut choisir d’être conseillé par un représentant des usagers, qui sera là pour s’assurer du consentement, de la bonne compréhension des informations et des démarches.

Le représentant des usagers est issu d’associations agréées du système de santé, il siège dans les commissions ou les instances dans lesquelles il a été mandaté par l’Agence Régionale de Santé ou le Préfet.

Parler du suicide sauve des vies !

A l’occasion de la 31ième Semaine nationale de prévention du suicide qui s’est déroulée du 31 janvier au 6 février 2021, le Centre de Psychothérapie « Les Marronniers » a ouvert encore davantage le dialogue avec les patients.

Chaque année en France 10 500 personnes décèdent par suicide. C’est l’accumulation de plusieurs facteurs à un moment particulier dans la vie d’une personne qui peuvent l’amener à vivre de la détresse, du désespoir et à avoir des idées suicidaires. 

Mais la crise suicidaire est temporaire et réversible, il y a toujours des solutions. Chacun peut aider à prévenir le suicide. 

Ainsi, lors de réunions d’échanges « soignants-soignés », un temps de parole a été dédié à cet enjeu majeur de Santé Publique qu’est la prévention du suicide.

A qui s’adresser face à une crise suicidaire ? 

 

Les CMP (centres médico-psychologiques) sont présents en première intention en cas de crise.

Le Tableau de Lucien Jonas, « Remontée des mineurs d’Anzin » (1922), voyage jusqu’à Soissons.

L’œuvre de Lucien Jonas jusqu’à maintenant conservé à la clinique Teissier à Valenciennes, va faire partie d’une exposition, nommée « Lucien Jonas, Les folles années vingt ».

Surnommé « le peintre des mineurs », Lucien Jonas (1880 – 1947) est un artiste qui a, durant toute sa vie, témoigné d’un attachement profond à sa région d’origine. Né à Anzin et formé à Valenciennes, il intègre l’école des Beaux-arts de Paris en 1899.

Au cours de sa carrière, il réalise bon nombre de dessins et de peintures liés à l’univers de la mine, mais fait preuve également d’une grande variété de productions.

Ce projet est lancé par les musées de Soissons et durera 4 mois durant le Printemps 2021.

Pour l’occasion, l’œuvre monumentale emblématique de ce peintre des mineurs, a fait le voyage et est exposé à l’Arsenal Saint-Jean en attendant de revenir ensuite dans le Nord.

Comme vous le savez, les restrictions gouvernementales ne permettent pas pour l’instant d’ouvrir les expositions au public.

Cependant, la municipalité de Soissons a tenu à proposer une visite de cette exposition de manière numérique.

Vous pouvez donc dès à présent profiter de cette exposition virtuelle via le lien ci dessous :

https://my.matterport.com/show/?m=MaETiJB7hg8  

Bonne visite !

CALL&CARE : Le premier guichet unique pour relever les décrocheurs du COVID.

Le groupe AHNAC est partenaire de la Fondation territoriale des lumières, engagée pour relever les décrocheurs de la COVID-19 (à l’école, à l’université, de l’emploi/du travail).
Dans cette crise sanitaire, les inégalités s’accroissent, il est primordial de rassembler nos énergies envers ceux qui subissent actuellement les conséquences de la crise sanitaire.
 
Vous êtes une association, une fondation ou une entreprise, vous avez des besoins, ou vous souhaitez vous engager pour aider les décrocheurs de la COVID-19, CALL&CARE est là pour vous !
 
CALL&CARE : Le guichet unique régional est maintenant disponible au 03.59.56.44.80, 5 jours sur 7 de 9h à 18h.
 
CALL&CARE connecte les besoins des acteurs de terrain avec les offres d’engagements des collectivités, entreprises et fondations, et de leurs salariés.
 
Le principe de fonctionnement :
1. Vous êtes une association, une fondation, une collectivité et vous avez des besoins (temps, argent, matériel, compétences) pour accélérer ou mettre en œuvre une action au profit des décrocheurs
 
2. Vous êtes une entreprise, une fondation, une collectivité et vous souhaitez vous engager (temps, argent, matériel, compétences) pour aider les décocheurs de la COVID
 
Call & Care est une démarche expérimentale portée par 7 fondations de la région Hauts-de-France et confiée à la dynamique Croisons Le Faire (croisonslefaire.fr) avant une éventuelle mise à l’échelle.

Focus sur la chirurgie proctologique : La Polyclinique d’Hénin-Beaumont en pointe.

Dans le classement 2020 des Hôpitaux et Cliniques réalisé par la revue « Le Point », l’établissement figure à la 22ème place, sur 1400 établissements analysés !
 
Chirurgie des pathologies de l’anus et du rectum, elle n’est pas que la chirurgie des hémorroïdes même si beaucoup de personnes en souffrent avec une altération majeure de leur qualité de vie.
 
Abcès, fistules, fissures, kyste pilonidal, rectocèle, prolapsus, certaines maladies sexuellement transmissibles (MST) relèvent également de la chirurgie proctologique. Sans oublier bien sûr le cancer du rectum, très fréquent, et de l’anus, beaucoup plus rare.
 
En urgence ou adressés par un gastro-entérologue, les patients peuvent compter sur l’équipe des six chirurgiens digestifs !
 
Cette véritable spécialisation chirurgicale est principalement assurée pour la chirurgie programmée par les Docteurs Amélie CHAU et Hubert-Jean DEREUX.

Parce que le cancer du col de l’utérus touche encore trop de femmes, dépistez-vous !

L’infection à papillomavirus humains (HPV) est l’infection sexuellement transmissible (IST) la plus fréquente. Près de 80 % des personnes (hommes et femmes confondus) seront infectées au cours de leur vie. La plupart du temps, l’infection -qui atteint le col de l’utérus – est transitoire car l’organisme élimine spontanément le virus. Mais dans près de 10 % des cas, le papillomavirus persiste. S’il s’agit d’un HPV dit « à haut risque », il peut évoluer en cancer.
 
Alors dépistez-vous chez votre médecin ou votre sage-femme !
 
Pour toutes les femmes entre 25 et 29 ans, un frottis tous les 3 ans si les deux premiers à un an d’écart sont normaux.
De 30 à 65 ans, le test HPV-HR, remplace le frottis. Le test HPV-HR est réalisé 3 ans après le dernier frottis dont le résultat est normal. Un nouveau test est refait tous les 5 ans, jusqu’à l’âge de 65 ans, dès lors que le résultat du test est négatif.
Pour les femmes qui ne font pas ce dépistage régulièrement un dépistage organisé est proposé et vous recevrez chez vous un courrier vous invitant à consulter un médecin ou une sage-femme pour le réaliser. Il sera alors remboursé à 100%.
 
Pensez surtout à vous protéger ou protéger vos enfants de l’infection à HPV grâce au vaccin Gardasil 9. Il est proposé aux filles et aux garçons entre 11 ans et 14 ans.